Si les bovins sont traditionnellement les têtes d’affiche de la Beaucroissant, les équins ne sont pas en reste. Il a régné pendant ces trois jours de foire une grosse ambiance sur le champ réservé à l’élevage équin. La région Rhône-Alpes, faut-il le rappeler, est la deuxième derrière la Basse-Normandie, en nombre d’équidés. Et un bel échantillon de la race chevaline régionale se trouvait là.
Chevaux de trait, poneys, ânes, mules, mulets, bardots, plus quelques lamas, occupaient le terrain, très fréquenté par les visiteurs. L’Isère a un penchant particulier pour le cheval. C’est l’un des départements rhônalpins le plus fourni en élevage avec la Loire et l’Ain et l’on y recense un nombre record de cavaliers, licenciés ou non.