Au club des fauvettes, à St-Georges-d’Espéranche

logo_ar_petit.jpg

Partons aujourd’hui à la découverte du club des fauvettes de St Georges d’Espéranche.

Celui-ci a été créé en 1977. Il comptait alors, sous la présidence de Lucienne Georges 88 adhérents. Le club rejoint en 1980 la fédération départementale des aînés ruraux et compte cette année 215 adhérents. La présidence étant assumée par Alain Rigard.
Le club qui accueille des retraités de tous bord est très actif, c’est le moins que l’on puisse dire. Des activités nombreuses et diverses sont proposées tout au long de l’année. Outre les rendez vous classiques et réguliers, des repas choucroute, fêtes des mamies, repas de Noël,thés dansant, lotos, concours de belote… sont programmés.

anciens-d.jpg

Les Parisiens d’un jour sont reçus par le député Remiller…

On ne passera pas sous silence les voyages qui sont la fierté du président.” Le club prend en charge un maximum de frais, en particulier ceux liés au car. Quand un adhérent paye son voyage, il sait qu’à part ses faux frais, tout le reste est totalement compris dans le prix, même le pourboire des chauffeurs!”

anciens-s.jpg

…et le sénateur Saugey

Le président a une méthode bien précise pour faire fonctionner le club et impliquer, responsabiliser un maximum de personnes. “On a créé diverses commissions et elles ont toutes un rôle bien défini à jouer. C’est par exemple le cas de la commission voyage. On a même une cellule patois et croyez moi, elle marche bien!”

Alain Rigard n’hésite pas à dire:”si une commission ne fait pas son boulot: elle se fait secouer”… Par contre, tout se passe pour le mieux, dans la convivialité et il est de tradition que les réunions de travail se terminent par un casse-croûte!.

Un club dynamique qui se fait connaître, par le bouche à oreilles “au-delà de nos limites communales, plus de 50 de nos adhérents viennent des villages alentours.”

Le club des Fauvettes adhère  à la fédération des aînés ruraux, ” c’est une obligation si on veut continuer à exister. La fédération  nous apporte beaucoup à tous les niveaux, pour résumer, c’est une sécurité et elle permet, par exemple, aux petits clubs de  vivre.”

Alain Rigard est conscient que certains clubs sont en difficulté. ” il faut à tout prix moderniser les clubs, les rajeunir, tant au niveau des adhérents que des élus. En un mot, il faut savoir partir et laisser les responsabilités aux jeunes. Ma peur est que l’on végète et que d’autres associations, clubs de retraités prennent la place. Je sais que dans certaines communes, c’est déjà le cas et c’est bien dommage. A nous de savoir réagir…”

Gilbert

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Revenir en haut de page