Après trois mois de sécheresse printanière, l’arrivée tardive de la pluie début juin est bénéfique pour les cultures et les prairies, sans pour autant permettre de compenser les déficits de production.
Les premières moissons atténuent les craintes de printemps. La baisse des rendements de céréales d’hiver et de colza est moins forte que prévue.
En fruits, la saison commence avec vingt jours d’avance. Les calibres sont petits.
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