Impossible d’y avoir échappé car elles occupent une place de choix dans les rayons des supermarchés. Les marques collectives régionales font de plus en plus recette. A chaque région son label, comme « Saveurs en’Or » pour le Nord, « Gourmandie » pour la Normandie, ou encore « Terroirs de Picardie ».
Du champ à l’assiette : les nouveaux circuits
Acheter des aliments frais c’est l’espoir de manger plus sainement, de savoir d’où vient ce que l’on consomme et de le payer au juste prix. Et c’est exactement la promesse de nouveaux points de vente qui se multiplient partout en France : ils s’appellent « La Ruche qui dit Oui » ou « O’Tera ». Leur principe : supprimer les intermédiaires entre producteur et consommateur. Derrière cette belle affiche, comment fonctionnent ces circuits courts ? Peut-on croire aux arguments de qualité et de juste prix mis en avant ? Comment les grandes surfaces ripostent-elles face à cette nouvelle concurrence ?
Concevoir des menus équilibrés et savoureux avec un budget très serré, c’est le défi que se lancent chaque jour les cantines scolaires de France pour tenter de satisfaire les 6 millions d’écoliers qui y déjeunent.
Pour faire baisser les coûts sans rogner sur la qualité, l’approvisionnement local semble être la solution. Mais entre les contraintes sanitaires et logistiques, est-ce vraiment possible ? D’où viennent les aliments servis à vos enfants ? Comment sont-ils préparés ?
Capital a repris le chemin de la cantine pour y répondre. Un reportage d’Hélène Mangiardi à voir ce dimanche 4 octobre 2015 en première partie de soirée sur M6.