Jusqu’alors, l’extension des vignobles était interdite a priori et devait être justifiée par les demandeurs (producteurs ou négociants). À présent, les plantations sont autorisées a priori, sur une superficie correspondant au maximum à 1% du vignoble actuel. Le vignoble français pourra donc s’accroître au maximum d’environ 8.000 hectares en 2016.
De plus, des autorisations de plantations peuvent désormais être délivrées à des vignes destinées à la production de vins non couverts par une indication géographique (AOC ou IGP), qui correspondent à l’ancienne catégorie des ” vins de table “. Les autorisations sont délivrées à condition de ne pas détourner la notoriété d’une appellation ou indication protégée (par exemple le champagne).
Entre 2000 et 2012, le vignoble français a reculé de 14% pour atteindre 750.000 hectares.
En 2015, la France est le 2e producteur mondial de vin avec 47,3 millions d’hectolitres.