Quand le cheval se transforme en boeuf….

Selon les ministres de la consommation, Benoît Hamon et de l’agriculture Stéphane Le Foll, les abattoirs roumains sont hors de cause en ce qui concerne la tromperie viande de boeuf-viande de cheval. Ceux ci ont bien vendu de la viande de cheval, étiquetée comme telle à la société Spanghero basée dans l’Aude ( Castelnaudary). Entreprise créée par les frères Spanghero, bien connus dans le monde du rugby mais hors de cause. Ils ont vendu leur entreprise en 2009.

Après une valse des étiquettes, la viande de cheval arrivée dans les locaux de l’entreprise a été vendue à la société de transformation Comigel en viande de Boeuf de l’Union européenne.

Benoit Hamon pense que la société Comigel ” aurait du se poser des questions sur le fait que les étiquettes n’étaient pas conformes à la législation française.”

On se demande également comment les salariés de l’entreprise n’ont pu se rendre compte de la différence entre de la viande de cheval et celle du boeuf. Impossible de détecter cette supercherie à travers la couleur de la viande ou son odeur se défendent les responsables de l’entreprise Comigel située au Luxembourg. Difficile de croire en ces explications…

En attendant les suites de l’enquête l’agrément sanitaire a été retiré, pour une période indéterminée à la société Spanghero. Plusieurs dizaines de salariés de l’entreprise se retrouvent sans emploi!

Par ailleurs trois carcasses de cheval en provenance des abattoirs britanniques sont entrés en France contenaient des traces de Phénylbutazone, un anti douleur nocif pour la santé humaine.. Elles ont été détruites…

Trois carcasses de cheval provenant d’abattoirs britanniques et contenant des traces de phenylbutazone, un anti-douleur potentiellement nocif pour la santé humaine, ont été envoyées en France, a indiqué jeudi le ministre britannique de l’Agriculture David Heath.

Trois carcasses de cheval provenant d’abattoirs britanniques et contenant des traces de phenylbutazone, un anti-douleur potentiellement nocif pour la santé humaine, ont été envoyées en France, a indiqué jeudi le ministre britannique de l’Agriculture David Heath.

Trois carcasses de cheval provenant d’abattoirs britanniques et contenant des traces de phenylbutazone, un anti-douleur potentiellement nocif pour la santé humaine, ont été envoyées en France, a indiqué jeudi le ministre britannique de l’Agriculture David Heath.

de détecter la tromperie” par sa couleur ou son odeur,

aurait dû s’interroger sur le fait que l’étiquette n’était pas conforme

aurait dû s’interroger sur le fait que l’étiquette n’était pas conforme

Gilbert

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